Le comportement de notre gouvernement a trois caractéristiques : incohérence, précipitation et mépris.

Créer de nouveaux emplois, mais où et pour quoi faire ?

Jean-Pierre Mon signale un groupe de réflexion d’économistes et de sociologues allemands, qui vont tout à fait dans le sens de l’économie de partage que nous proposons.

Comme le décrit Paris-Obs (9-15/3/2006) la RATP, la SNCF, la Poste, les banques, les compagnies d’assurances ... remplacent leurs guichets par des automates multifonctions. Dans les supermarchés on teste des “robots caissières”, machines à encaisser en libre-service où les clients “bipent” (…)

La liberté peut-elle exister dans une société où le sort du plus grand nombre dépend de l’enrichissement d’un petit nombre, interrogeait Jacques Duboin.

Et Caroline Eckert demande pourquoi, pour réaliser des projets utiles à la société, dans l’un des pays les plus riches du monde, il faut compter sur des volontaires qui acceptent d’être mal payés.

Dans la perspective des Présidentielles, François Châtel commence par dresser un bilan qui discrédite le système actuel.

Selon J. Langlois, il faudrait gérer la protection sociale directement par les salariés et les chômeurs, sans faire appel à des cotisations patronales : Marie-Louise Duboin doute que ce soit la bonne solution.

CNE, CPE, TPE, etc, sous ces sigles Gérard-Henri Brissé décèle le profond malaise de notre société.

Jacques Hamon expose les perspectives offertes par cette source d’énergie, mais aussi les problèmes qu’elle soulève.