Si les programmes des “sortants” n’ont rien d’original, c’est que la mondialisation libérale ne leur laisse aucune liberté, la comparaison avec l’Allemagne en témoigne.

Il est absurde de critiquer la démission des responsables politiques en continuant d’affirmer que les bienfaits du marché sont irremplaçables.

L’analyse de l’actualité met en évidence le cynisme avec lequel les conseillers financiers spéculent sur les retombées qu’ils attendent des guerres en préparation pour relancer l’économie.

Ce qui est bon pour les États-Unis peut être mauvais pour le monde, quoi qu’en dise un économiste de Yale.

La leçon de trois guerres.

Sur la situation du Tiers-monde.

À Québec, un colloque a été consacré à l’échange et aux monnaies parallèles.

Preuves à l’appui, il n’existe aucune volonté politique de lutter contre la pauvreté.

À la lumière du rapport récemment établi par les experts on peut craindre que la réalité des dangers ait été trop négligée.

Le décalage croissant entre l’optimisme tragique des “sortants” et les préoccupations quotidiennes de leurs électeurs dénonce l’hypercentralisation et la complexité des chicanes administratives.